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9 questions pour découvrir la kinésiologie

Note importante : Une dizaine de kinésiologues et chiropracteurs ont eu la gentillesse de répondre à ces 10 questions sur leur spécialité. Les réponses ont été choisies suivant des critères de pertinence, variété de points de vue mais aussi beaucoup pour des raisons d’équilibre éditorial (nombre de réponses pour chacun(e) et longueurs de celles-ci). Pour voir toutes les réponses avant sélection, vous pouvez consulter ce document.

1. Dans quels cas peut-on faire appel à la kinésiologie ?

« Dans tous les cas, que ce soit pour un symptôme physique, une dépression, en cas de mauvaise gestion du stress, pour se connaître soi-même ou pour évoluer en conscience….quel que soit le dysfonctionnement la kinésiologie peut aider à éclairer les causes cachées et vous révéler à vous même…. » – Gateau Hélène

« Pour tout ce qui concerne les problèmes émotionnels ou physiques, elle permet de sortir du fonctionnement automatique qui nous limite. » – Virginie Boissière

« A peu près tout : difficultés d’apprentissage, de concentration et/ou d’organisation, problèmes de mémorisation, dyslexie, manque de motivation, hyperactivité ; soulager certaines douleurs: céphalées, douleurs dorsales, tensions musculaires… ; se libérer de blocages émotionnels ; diminuer le stress, l’angoisse ; aider à faire face aux traumatismes (deuil, chômage, divorce, choc affectif, licenciement, reconversion professionnelle…) ; trouver un sommeil réparateur (insomnies, cauchemars, angoisses nocturnes…) ; retrouver confiance en soi ; calmer le mental ; dénouer les problèmes relationnels (problèmes de couple, de relations professionnelles…) ; améliorer les liens « maman/bébé » (grossesse, naissance, puis petite enfance et au-delà) ; soutenir le processus de guérison ; optimiser la vitalité, retrouver le bien-être ; apaiser les peurs et phobies ; soulager les allergies ou intolérances ; accompagner le sevrage en cas d’addiction (alcool, nourriture…) ou simplement mieux se connaître ! » – Éliane Fichot

« La kinésiologie peut être utilisée dans de très nombreux cas. C’est un outil utilisé pour rechercher et mettre en évidence un dysfonctionnement mécanique, chimique ou mental. » – Anne-Sophie Delene

« Quand on cherche à mieux comprendre l’origine de nos difficultés, à faire des liens avec des mémoires dont on peut ensuite libérer la charge émotionnelle, à remettre en circulation l’énergie bloquée dans le corps, à trouver les réponses les plus justes pour nous soutenir dans la réalisation d’un objectif. » – Valérie Rouvre

« Si recherche d’un circuit de travail personnel court. Quand le travail en psychothérapie n’est pas satisfaisant. Quand on recherche un travail de développement personnel impliquant le corps. Pour les enfants, adolescents, jeunes adultes, où le travail psychothérapique classique peut être trop pesant. Quand on a des difficultés à se raconter, à verbaliser, le ou la kinésiologue est là pour aider à mettre des mots sur ce que l’on vit, ressent. » – Ariane Delagneau

2. La kinésiologie doit-elle être utilisée en complément d’autres médecines ?

« Elle ne doit pas…elle est complémentaire et peut accompagner tous types d’autres médecines. » – Gateau Hélène

« Bien maîtrisée, elle est un plus évident à tout professionnel de santé. De nombreux chiropracteurs travaillent en utilisant la kinésiologie et même se spécialisent. C’est une approche complémentaire à d’autres médecines bien sûr. » – Anne-Sophie Delene

« La kinésiologie ne peut pas être considérée comme une thérapie à part entière. Elle n’amène pas la guérison mais l’accompagne, en complément d’un suivi médical au choix du consultant. » – Pauline Favard

« La Kinésiologie ne remplace pas la médecine traditionnelle… » – Balland Frédéric

3. La kinésiologie fonctionne sur la mémoire corporelle et se base sur l’idée que le stress peut engendrer des maux. Quel est le raisonnement derrière tout ça? Un stress très ancien peut-il encore engendrer des maux à l’heure actuelle?

« C’est une technique énergétique qui prend en cause différent facteurs, ce qui est concret c’est qu’elle agit sur les représentations que nous avons du passé, parfois nous avons du mal à dépasser un problème (deuil ,trauma,) mais c’est l’idée que j’en ai maintenant qui me perturbe. la kinésiologie offre du choix là ou il y avait de la contrainte. » – Philippe Nappey

« Tout ce que nous vivons dans notre présent vient en réponse à ce que notre corps a enregistré depuis notre conception. Lorsque notre comportement est trop éloigné de ce qui créé l’harmonie en nous, notre corps va nous envoyer des messages pour nous prévenir, notamment les émotions. Si nous refusons de les écouter les messages se font de plus en plus fort pour que les maux deviennent des mots. » – Virginie Boissière

« Par stress, il faut comprendre tout type de blocage d’énergie d’origine émotionnelle (ex : deuil) , physique (ex : blessure) ou biochimique (ex : allergie alimentaire). La kinésiologie repose sur l’hypothèse que le corps est intelligent et qu’il réagit subtilement pour exprimer ce qu’il désire ou ce dont il a besoin. Un stress ancien peut donc effectivement engendrer un mal aujourd’hui. C’est pourquoi, il est fréquent d’aller rechercher l’âge de la cause en faisant « une récession d’âge ». Ce « stress » peut même venir d’événements ou situations avant la naissance. On se promène avec des valises qui ne nous appartiennent pas et qui parfois nous empêchent de vivre notre propre vie puisque cela nous fait reproduire des schémas qui ne nous appartiennent pas. » – Éliane Fichot

« Un stress traumatique pas assez verbalisé et pas assez conscientisé sera refoulé dans l’inconscient de la personne. Le corps lui est directement branché sur l’inconscient de la personne et même de l’inconscient familial collectif. Même des années après le stress, il suffit que la personne rencontre un événement qui réactive le souvenir de ce stress pour que angoisse et mal être resurgissent mais sans compréhension et sans lien direct avec l’événement passé vécu. Autre possibilité fréquente: la personne se mettra elle même en situation de stress ou de déséquilibre pour avoir inconsciemment la possibilité de réactiver le stress initial mal conscientisé… ce qui peut expliquer des répétitions malheureuses sans fin dans les histoires de chacun » – Ariane Delagneau

« Nous sommes confrontés en permanence à de nombreux stress. Le corps s’adapte et développe en réponse des schémas comportementaux inconscients. Or à un moment donné, ces schémas empêchent la personne d’évoluer car ils ne sont plus adaptés à ce qu’elle vit. La kinésiologie permet de les réactualiser pour lui permettre de continuer à naviguer au mieux dans sa vie. » – Carole Boyer

4. L’une des étapes de la kinésiologie est le test musculaire. A quoi celui-ci sert-il ?

« Le test musculaire nous indique si l’énergie circule bien, s’il y a un stress. Cela nous permet de vérifier si le mental est d’accord avec le corps et ainsi déceler les croyances pénalisantes pour l’épanouissement personnel. » – Virginie Boissière

« Tout d’abord le test musculaire doit être effectué de façon très précise et spécifique : on test un muscle et non un groupe musculaire. C’est très important pour la validité des résultats trouvés ! N’importe quel muscle peut être utilisé tant qu’il répond à deux conditions : 1) testé seul le muscle doit être « fort » et résister à la résistance qu’oppose le praticien et 2) lorsque le praticien effectue une pression sur le muscle pour l’inhiber, celui-ci doit devenir « faible » (il ne peut plus résister à la résistance) lorsqu’on re-test ce même muscle. Une fois ce muscle trouvé, il est la référence. C’est ce muscle qui servira pour définir les zones / éléments dysfonctionnants. S’il s’affaiblit à une stimulation donnée c’est l’indication d’un dysfonctionnement. Le test musculaire ne donne aucune indication quant à la nature du dysfonctionnement. Pour cela il faut pousser les tests et investigations de façon méthodique et précise. » – Anne-Sophie Delene

« Le test musculaire sert à écouter le corps pour avoir une indication de la présence de stress ou non, de la circulation harmonieuse de l’énergie ou non, et permet un dialogue et une recherche des causes et des « corrections » adaptées. » – Valérie Rouvre

« C’est une convention pour obtenir des réponses claires du corps, sans passer par la case mental. » – Balland Frédéric

« Le test musculaire est une pression douce, exercée sur un muscle du bras, qui indique la présence ou l’absence d’un stress en lien avec l’objectif de la séance de travail. Cela permet de faire participer pleinement la personne par une auto-observation de ce qui se passe en elle, l’amenant à devenir actrice de son propre changement. » – Carole Boyer

5. Certains disent que la kinésiologie peut dériver en pratiques sectaires. Qu’en pensez-vous ?

« Toute pratique peut être détournée en pratique sectaire y compris le sport. La kinésiologie est une méthode éducative, pédagogique et thérapeutique et rien n’empêche les esprits sectaires de l’utiliser. » – Philippe Nappey

« La référence aux sectes a la peau dure, tout cela à cause d’un malheureux fait divers il y a plus de 30 ans ! Il existe un syndicat national de kinésiologie dont le rôle est de régir la profession, pas d’histoire de secte là dedans ! Au contraire, tout est fait pour clarifier la pratique. »- Éliane Fichot

« Pas du tout en aucun cas un praticien kinésiologue est un gourou. C’est un praticien qui fait trois années d’école avec deux examens, un du praticien « touch for health » et un examen final avec un mémoire. De nos jours nous rencontrons et entendons tout et n’importe quoi. On pourrait dire la même chose concernant les médecins qui nous bourrent de cachets pour tout et n’importe quoi, poussés par les lobbys des laboratoires, voir les dernières infos sur le levotyrox, et tout autre médocs. On pourrait parler de secte aussi. Je pense qu’il ne faut pas généraliser et diaboliser quand une technique marche et ne fait pas de mal. Aujourd’hui les troubles psychosociaux sont bien présents et reconnus par le gouvernement. Pour cela nous avons un panel de choix concernant la libération de stress émotionnel (psychologue, sophrologie, hypnose, kinésiologie etc…. aux gens de choisir ce qui leur convient. » – Stéphane Rouède

« Il n’y a en effet à l’heure actuelle aucun cadre légal en France concernant la kinésiologie : à partir du moment où l’on utilise un test musculaire, on pourrait dire qu’il s’agit de kinésiologie. Les dérives sont donc possibles. Cela dit, il en existe très peu d’exemples. Un seul cas est cité par les détracteurs de la kinésiologie, ce qui est minime comparativement à certains usages tragiques de médicaments légaux ayant défrayés la chronique. »- Pauline Favard

« Toute technique ou thérapie quelle qu’elle soit peut dériver en pratiques sectaires. Car cela dépend non pas de la technique mais du praticien/thérapeute et de son intention. S’il utilise sa technique pour développer un ascendant sur son patient, alors fuyez ! » – Carole Boyer

6. A quoi reconnait-on un bon kinésiologue ?

« Un kinésiologue ne prescrit aucun traitement ni régime alimentaire ne suspend aucun traitement et accepte que les clients viennent le consulter pour se faire une première idée sans engagement de leur part. » – Philippe Nappey

« À son éthique, à sa qualité de réponses et à sa façon d’utiliser l’outil, est-il un thérapeute dans l’âme ou un technicien ? A t il fait un travail sur lui même aussi? Ou pas? Cela peut vraiment faire la différence…. » – Gateau Hélène

« Un bon kinésiologue effectue des testing précis, spécifiques, dans le cadre d’une logique thérapeutique. C’est la base absolue de la kinésiologie. Si le test est mauvais, rien de ce qui suit n’est valable. Selon moi, du point de vu d’un patient il est difficile de savoir si le kinésiologue est bon car il n’a pas les connaissances nécessaires pour juger de la qualité du testing et ne connaît pas la réflexion motivant celui-ci et donc le résultat recherché / attendu. Il est essentiel que la formation en kinésiologie soit sérieuse. Les formations trop superficielles sont à éviter. Acquérir les bons gestes et tester correctement les muscles demandent de l’entraînement et de l’expérience. » – Anne-Sophie Delene

« C’est un thérapeute comme un autre ! Tout dépend de son niveau de formation, de son écoute, de son humanité, de sa déontologie…. » – Ariane Delagneau

« Ses réponses sont mesurées, il ne prétend pas avoir accès à toutes les informations possibles concernant le consultant, il n’encourage pas à arrêter un traitement médicamenteux, il ne fait aucune prescription, il prévient le consultant lorsqu’il utilise une méthode autre que la kinésiologie, il ne laisse surtout pas croire que la kinésiologie est une médecine ou une pratique de guérison. » – Pauline Favard

7. Quelle est la plus-value de la kinésiologie par rapport aux autres types de thérapies ?

« Toutes les thérapies sont intéressantes, elles travaillent toutes sur des dimensions différentes et sont donc très complémentaires. La kinésiologie est très adaptée aux gens qui ont compris beaucoup de leurs fonctionnements mais n’arrivent pas à en sortir. On travaille sur le mode automatique, le « c’est plus fort que moi » afin de ré-informer le corps qu’il peut prendre un chemin différent et commencer doucement à créer une nouvelle réalité à l’extérieur, on modifie les croyances internes. » – Virginie Boissière

« Le kinésiologue n’est pas dans un rôle de « celui qui sait » de quoi souffre la consultant et ce qu’il faut faire pour le soulager. Il accompagne le consultant dans sa demande, il n’impose rien, il se laisse guider par le test musculaire à travers l’histoire du consultant. C’est donc une aventure pour l’un et l’autre. Les praticiens d’autres thérapies : naturopathie, hypnose, ostéopathie… « imposent » ce qu’ils ont appris. Par exemple : quand une personne souffre de douleurs à l’estomac, le naturopathe va conseiller tel ou tel aliment parce que c’est habituellement conseillé pour ce cas, l’ostéo va pratiquer telle manipulation de même, alors que peut être, ce mal d’estomac n’est peut être pas d’origine biochimique ou posturale. Le test musculaire est là pour guider le thérapeute. Il n’est pas le monopole des kinésiologues. Aussi, certains professionnels de santé l’utilisent dans l’exercice de leur activité : médecins, homéopathes, posturologues, podologues, orthophonistes, dentistes, chiropracteurs, ostéopathes. » – Eliane Fichot

« C’est une technique relativement rapide, les informations données par le corps ne passant pas par le filtre du mental. Elle agit de plus à tous les niveaux : physiques, mentaux, émotionnels et sociaux. » – Pauline Favard

« Son approche holistique du corps, en s’appuyant sur la vision de l’énergétique chinoise et des découvertes des neuro sciences en fait une technique efficace qui s’attache à la racine du déséquilibre. » – Carole Boyer

8. La kinésiologie est-elle accessible à tous?

« Oui enfants, nourrissons, handicapés, jeunes moins jeunes » – Philippe Nappey

« Oui, petits et grands, tout le monde est inclus. Les animaux aussi. » – Gateau Hélène

« Oui tout à fait de l’enfant à la personne âgée. » – Stéphane Rouède

9. Comment se déroule une séance, et combien de séances sont nécessaires pour venir à bout du mal en question?

« Une séance commence toujours par une anamnése afin de connaître le patient. Ensuite le praticien demande à la personne d’avoir un objectif qui doit être stressant que le praticien pourra tester, ensuite le praticien utilisera une technique de rééquilibrage (3in1,touch, kinesioperinatale, braingym, etc…..) »- Stéphane Rouède

« Il y a plusieurs orientations possibles: le TFH touch for health, le brain-gym, le Three in one, la recession d’âge etc… Le test musculaire donne l’orientation qui convient à la personne. Le nombre de séances est très variable selon les cas. Beaucoup de kinésiologues y joignent d’autres pratiques. » – Ariane Delagneau

« Chaque personne est unique. Et la durée dépend uniquement du patient. » – Balland Frédéric

« Une séance commence par un entretien avec la personne. Ensuite le praticien utilise le test musculaire pour déterminer la source du déséquilibre, en lien avec l’objectif de travail. Le praticien échange tout au long de la séance avec la personne qui reste actrice de son changement. Le nombre de séance dépend de la nature du déséquilibre. » – Carole Boyer

Source : justebien.fr

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